Notre organisation
Epicentre dispose de 3 centres de recherche – Paris (France), Mbarara (Ouganda) et Maradi (Niger), d’équipes d’épidémiologistes sur le terrain – Cameroun, Mali, RDC, Malawi, Tchad, Soudan du Sud, Niger, Ouganda – d’équipes délocalisées à New-York, Dubaï, Dakar, Genève, Bruxelles, Londres, Le Cap, d’un département de Recherche et d’un département Epidémiologie d’Intervention et Formation.
Conseil d'Administration
L'association Epicentre dispose d’un Conseil d’Administration (CA) de dix membres : quatre membres de MSF-France, un membre de MSF-Suisse, un membre de MSF WaCA (Afrique de l’Ouest et Centrale) et quatre experts élus, y compris la Présidente du Conseil d’administration.
Le CA reçoit les rapports d’activité des différents responsables d’Epicentre. Il se réunit au moins deux fois par an ; il définit la politique générale d'Epicentre, suit sa mise en place opérationnelle et approuve le budget.
Présidente
- Maryline BONNET – Médecin épidémiologiste
Vice-Président
- Fred EBOKO - Directeur de Recherche IRD, Politiste et sociologue
Trésorier
- Kone Louis PENALI - Médecin
Membres
- Isabelle DEFOURNY * - Médecin et Présidente de MSF France
- Jean-François CORTY * - Médecin
- Estrella LASRY * - Médecin
- Lynda WOI-MESSE * - Médecin
- Philippe SUDRE ** - Médecin
- Yap Boum II *** - Biologiste
- Mehul DHORDA - Biologiste
*Délégués par le CA MSF France
**Délégué par le CA MSF Suisse
*** Délégué par le CA de MSF WaCA
Direction
La direction exécutive d’Epicentre est composée du directeur général, Emmanuel Baron, de la directrice du département de recherche, Valérie Briand, et de la directrice du département Epidémiologie d’Intervention et Formation, Klaudia Porten. La direction et les équipes administratives sont à Paris. Les activités de recherche sont développées et pilotées principalement de Paris (France), Maradi (Niger), et Mbarara (Ouganda) mais également de façon décentralisée de Bruxelles, Genève, Londres, New York, Cape Town, Dakar, Dubaï et Yaoundé.
Financement
Epicentre est essentiellement financée (environ 2/3) par des fonds collectés par MSF. Epicentre bénéficie également d’autres sources de financement pour des projets suivis ou menés par l’association. Ces sources sont notamment : l’Agence nationale de recherche contre le sida et les hépatites, l’initiative Médicaments contre les maladies négligées (DNDi), la Fondation Elsevier, le Kavli Trust, la London School of Hygiene and Tropical Medicine, Mott Mac Donald, la Child Investment Fund Foundation, l’Organisation mondiale de la Santé, UnitAid, Wellcome Trust.
Lors des deux derniers exercices, le budget annuel d’Epicentre a dépassé 16 millions d’Euros.
Index égalité Femmes-Hommes
La réussite des projets menés par Epicentre repose sur la diversité de professionnels aux compétences complémentaires. À mesure que de nouveaux défis se présentent, nous évoluons en intégrant de nouveaux profils. Cette diversité de talents est une réalité qui se déploie dans tous les pays dans lesquels nous intervenons.
Elle se traduit aussi dans la représentation femmes/hommes au sein d’Epicentre qui veille à la mixité professionnelle et continue à s’inscrire dans une démarche d’égalité professionnelle.
Epicentre a obtenu un score de 89 points sur 100 à l’index français Egalité Femmes/Hommes en 2022 pour son personnel sous contrat français.
Pour en savoir plus
Cet index évalue l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes au sein des sociétés sous la forme d’une note globale sur 100 points, que chaque entreprise calcule à partir des 4 indicateurs suivants :
- Ecart de rémunération entre les femmes et les hommes : 39 points obtenus/40
- Ecart dans la proportion de femmes et d’hommes ayant eu une augmentation de salaire : 35 points obtenus/35
- Pourcentage de salariées ayant eu une augmentation de salaire à leur retour de congé maternité : 15 points obtenus/15
- Nombre de salariés du sexe sous-représenté dans les 10 plus hautes rémunérations : 0 point obtenu/10 (sur-représentation féminine)
En deçà du seuil de 75 points, l’entreprise doit définir et mettre en œuvre des mesures correctives dans un délai de trois ans.